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Marché de Noël – L’Estran du samedi 02 décembre 2023 au dimanche 03 décembre 2023 english version

Marché de Noël – L’Estran

Animation locale Marché de Noël à Saint-Briac-sur-Mer

Quand ?du samedi 02 décembre 2023 au dimanche 03 décembre 2023

A quelle heure ?

Où ? Saint-briac-sur-mer(35800) - Ille-et-Vilaine - 1 Place du Centre, L'estran

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Saint-briac-sur-mer(35800) - Ille-et-Vilaine - 1 Place du Centre, L'estran

Animation locale Marché de Noël

Marché de Noël – L’Estran se déroulera du samedi 02 décembre 2023 au dimanche 03 décembre 2023 à Saint-briac-sur-mer(35800) - Ille-et-Vilaine

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Saint-Briac-sur-Mer:

Saint-Briac-sur-Mer est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Comme son nom le suggère, Saint-Briac-sur-Mer est une station littorale balnéaire de la Manche du département de l'Ille-et-Vilaine et limitrophe des Côtes-d'Armor.
Le pont sur le Frémur la relie à Lancieux.
Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Saint-Malo et la zone d'emploi de cette ville, ainsi que dans le bassin de vie et l'unité urbaine de Dinard

Les communes limitrophes sont Pleurtuit, Saint-Lunaire, Lancieux, Ploubalay et Beaussais-sur-Mer.

La superficie de la commune est de 8,06 km2 ; son altitude varie de 0 à 62 mètres.

La commune, limitée au nord et à l'ouest par le littoral de la Manche, est bordée au sud-ouest par et à l'ouest par le Frémur et son estuaire.










En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 669 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 7 km à vol d'oiseau, est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

La pointe de la Garde-Guérin est un promontoire rocheux culminant à 48 mètres au nord de la commune. De son sommet, la vue s'étend du cap Fréhel à Saint-Malo et au-delà. Cet espace naturel départemental abrite deux espèces de chauves-souris inscrites au livre rouge des espèces menacées en France : le grand murin et le grand rhinolophe.

Du point de vue de la richesse de la flore, Saint-Briac est à la septième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 611 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 54 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 27 taxons protégés et 35 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237).
Plusieurs plantes de littoral comme l'armérie maritime se rencontrent sur la commune, notamment à la pointe de la Garde-Guérin avec sa pelouse littorale à silène maritime (Silene uniflora) et les orchidées des marais du Dinard Golf « espace d'une exceptionnelle richesse floristique » (Ophioglossum vulgatum).

Au 1er janvier 2024, Saint-Briac-sur-Mer est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022.
Elle appartient à l'unité urbaine de Dinard, une agglomération inter-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue,,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne,. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants,.
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,7 %), zones urbanisées (35,9 %), terres arables (8,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,4 %), zones humides côtières (1,4 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 962, alors qu'il était de 2 833 en 2016 et de 2 679 en 2011.
Parmi ces logements, seules 37,7 % étaient des résidences principales, 60 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,2 % des appartements.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Briac-sur-Mer en 2021 en comparaison avec celle d'Ille-et-Vilaine et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (60 %) supérieure à celle du département (7,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Briaci en 1271, Saint Bria en 1277, Sancti Briaci en 1371, S. Briac en 1654, S. Briach en 1709.
Son nom vient d'un saint nommé Briac. La tradition dit qu'il était irlandais. En fait Briac est un nom d'origine brittonique. C'est la version haute bretonne de Brioc/Brieuc, ce qui ne veut pas dire que saint Briac et saint Brieux sont les mêmes saints. Ils portent le même nom.[réf. nécessaire]
Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Port-Briac.
La dénomination bretonne de la commune est Sant-Briag et la gallèse est Saent-Beriac[réf. nécessaire].

La commune comportait plusieurs sites mégalithiques signalés dans les recensements du XIXe mais désormais détruits ou introuvables : un menhir et un dolmen près de la Garde Guérin, un alignement dénommé les Roches-Hues.

Selon l'hagiographe breton Albert Le Grand, Briac débarque en Bretagne avec saint Tugdual sur la côte du Léon vers 548. Une nouvelle version de l'histoire de Briac le voit vivre au Xe siècle.
La paroisse est créée vers 1150 et le choix du nom est sans doute effectué par l'évêque Jean de Chatillon, ancien prieur à Guingamp et familier du Briac de Bourbriac.
Le premier briacin connu est Guillaume de St Briac qui en 1220 est prieur à Combourg. La paroisse est mentionnée pour la première fois en 1271. Il s’agit d’un démembrement de la paroisse primitive de Pleurtuit et elle dépendait de l'évêché de Saint-Malo.

Du XVIe siècle et jusqu'à la Révolution française, les Du Breil de Pontbriand sont les seuls seigneurs de Saint-Briac-sur-Mer.

Lors de la Guerre de Sept Ans, les 4 et 5 septembre 1758, une flotte britannique, forte de plus de 113 navires et commandée par l'amiral Richard Howe, débarque dans l'anse de la Fosse, à l'est de pointe de la Garde-Guérin, un corps de plus de 9 000 hommes (voire 13 000) sous les ordres du général Thomas Bligh qu'accompagne le duc d'York, futur roi Georges III.
Elle établit un camp au village de la Plate-Roche (Saint-Lunaire), après avoir pillé Saint-Briac et ses environs : à Saint-Briac, elle incendie les villages de la Fosse, du Mesnil, du Chemin et de la Ville-au-Coq.
Après avoir constaté qu'elle ne pourra pas passer à St Malo, elle se déplace et réembarque à Saint-Cast sous le feu des troupes françaises qui sont arrivées.

Comme le montrent les tableaux des grands peintres de la fin du XIXe siècle et les photographies d'époque, la côte, avant l'implantation des villégiatures, était dépourvue d'arbres : ce sont les nouveaux résidents estivaux qui ont planté toutes sortes d'espèces et ainsi agrémenté le site.

1882 : construction du château du Nessay.
1883 : Construction de l'hôtel des Panoramas.
1884 : Séjour de Paul Signac.
1885-1895 : Séjours estivaux de Henri Rivière (artiste dessinateur).
1892 : Création du Dinard-Golf.
1896 : Construction du club-house du Dinard Golf Club.

En 1901 ouvre la ligne de tramway de Saint-Briac à Dinard, une ligne de tramway à vapeur à voie métrique qui relie Saint-Briac à Dinard en passant par Saint-Lunaire. Elle a été ouverte entre 1901 et 1902. En 1929, la ligne ferme pour être remplacée par un service d'autocar,.

Saint-Briac-sur-Mer au tout début du XXe siècle













En 1914, l’hôpital militaire complémentaire n°43 est ouvert à Saint-Briac devant l'afflux des blessés. ferme en 1916.[réf. nécessaire]

1920 est l'année de la création des tennis à la Houle.
Au début de la décennie 1920, le grand-duc Cyrille Vladimirovitch (cousin de l'ancien tsar Nicolas II) s'installe à Saint-Briac avec sa femme et ses enfants.
En 1927 ouvre le deuxième club-house du "Dinard Golf Club", construit par l'architecte Marcel Oudin.

Saint-Briac est le flanc ouest de la « Festung » de Saint-Malo. De nombreux blockhaus y sont construits, dont l'ensemble de la pointe de la Garde-Guérin.
La commune est libérée par les Américains le 15 août 1944, au prix de la vie de trois soldats américains. Tony Vaccaro y réalise les photographies de guerre.

L'opposition de certains riverains à l'ouverture du sentier littoral GR 34 au droit de leurs propriétés suscite de nombreuses polémiques,,

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Malo du département de l'Ille-et-Vilaine.
Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Saint-Briac de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis lors du canton de Dinard. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Malo-2.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription d'Ille-et-Vilaine.



Saint-Briac-sur-Mer est membre de la communauté de communes Côte d'Émeraude, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Lancieux (France)
Besse (France)

Le nom des habitants est Briacin.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004.

En 2021, la commune comptait 2 208 habitants, en augmentation de 10,9 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 50,3 % la même année, alors qu'il est de 23,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 019 hommes pour 1 113 femmes, soit un taux de 52,2 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,18 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Saint-Briac-sur-Mer est une station balnéaire réputée de la Côte d’Émeraude.

Une économie tournée vers le tourisme
En 2004, Saint-Briac comportait 913 résidences principales et 1 572 résidences secondaires. Les retraités représentaient alors 35 % de la population.
Les services de proximité sont le secteur offrant le plus d'emplois (83), suivis par la distribution (60), le BTP (44), l'administration (40) et l'entretien/réparation (37).

La commune compte plusieurs monuments historiques :

l'église Saint-Briac Classé MH (1908, clocher), (XVIIe siècle), reconstruite entre 1870 et 1875 à l'emplacement d'églises primitives datant de 1671 et des XIe, XIIe – XIIIe siècles. Cette reconstruction a été en partie financée par les marins de Saint-Briac ayant en échange reçu une autorisation de pêcher le dimanche (des maquereaux sculptés ornent d'ailleurs l'extérieur de l'édifice). L'ancienne église, qui datait de 1671, se composait d'une nef avec deux collatéraux, d'un transept, d'une abside à pans coupés, et d'un clocher daté de 1671. La chapelle prohibitive des seigneurs de Pontbriand, comme seigneurs de la Garde, était du côté nord. Une litre aux armes des seigneurs de Pontbriand entourait l'église au XVIIe siècle. Le chœur de l'église renfermait jadis un tombeau élevé appartenant aux seigneurs de la Houlle. Un reliquaire ou charnier, avec une inscription en quatre vers, se voyait autrefois en face de la porte d'entrée. L'ancienne église a été démolie en 1870 ; seule la tour carrée à l'ouest, surmontée d'un clocher, a été conservée. Entièrement en granit, il est orné de deux galeries à balustres et coiffé d'un dôme octogonal. Ce genre de construction unique en Ille-et-Vilaine, rappelle certains autres clochers bretons du Trégor ou du Finistère. Il abrite une cloche de 1690 donnée par le seigneur de Pontbriand ;
l’île Agot Inscrit MH (1975) qui renferme des sites protohistoriques ;
la boutique du 2 rue du Commandant-Pierre-Thoreux Inscrit MH (2014, façades - dont la devanture commerciale - et ses toitures), datant de 1925, et son décor en mosaïque de l'atelier d'Odorico.
le Club-House du Golf Inscrit MH (2014, en totalité, à l'exception toutefois du sas ajouté à l'entrée du bâtiment), datant de 1921 conçu par Marcel Oudin en style Art Déco
On peut également signaler :

La chapelle de l'Épine-Notre-Dame ou chapelle Saint-Adam, mentionnée sous ce nom dès 1628. Elle est déclarée en ruine en 1682 et reconstruite en 1688 sous le nom de Notre-Dame de l'Épine. Ancienne chapelle frairienne, elle est réédifiée en 1833. Son campanile porte les dates de 1565, 1688 et 1833. La tradition prétend qu'elle est construite sur l'emplacement d'une épine où l'on trouva une statue de la Vierge. On y conserve l'ancienne cloche de la chapelle Saint-Adam et la statue de la Vierge.
L'ancienne chapelle du Vieux-Couvent (XIXe siècle) des sœurs de la Sagesse (1700-1800)
Le calvaire des marins (XIXe siècle), située au bourg de Saint-Briac. Il se trouve à l'emplacement d'un ancien dolmen détruit vers 1850.
La croix située au village de la Chapelle. Cette croix remplace l'ancienne chapelle Saint-Pabu ou Saint-Tugdual.
Le château du Nessay (XIXe-XXe siècle). Le château de Saint-Briac qui était situé au lieu-dit la Houle a été détruit vers 1650. La seigneurie de La Houle est annexée par le roi en 1650 à la seigneurie de la famille Breil-de-Pontbriand. Le château actuel a été érigé en 1886, par le comte Maurice de Villebresme, maire (1892-1899) de la commune. Il appartient à la commune qui le fait fonctionner en centre de vacances. Le parc contient une chapelle reconstruite au XIXe siècle, avec réemploi d'une porte du XVIe siècle.
L'ancien château fort de la Houle, mentionné dès le XIIe siècle dans le Roman d'Aquin. Il possédait jadis une chapelle privée. C'était le château seigneurial de la paroisse. Propriété de la famille d'Elbiest en 1460 et en 1520. Il est annexé en 1656 à la seigneurie de Pontbriand,
L'ancienne faïencerie (1898-1899)
L'hôtel de La Houle (1880-1885)
La maison (XVIIIe siècle), située au no 1, rue du Nord
La rue pavée Emile-Bernard
Le lavoir (XXe siècle),
Le boulevard de la Mer et le balcon d'Émeraude
Quatre moulins dont les moulins à vent de la Houle (encore surnommé Moulin de Pierre Allée) (XVIIe siècle), de la Marche, de la Tourelle, et le moulin à eau de Rochegoude, (XIXe siècle)
Plusieurs monuments mégalithiques
Le Tertre-Girault et la « pierre du diable »
L'ancien manoir de la Garde. Propriété de la famille Boutier, puis de la famille du Breil en 1682
L'ancien manoir de la Ville-aux-Provôts, situé route de Pleurtuit. Propriété de la famille du Breil en 1682.
Le bureau de poste construit sur les plans de Pierre-Jack Laloy en 1936 est un bon exemple de l'architecture régionaliste de l'entre-deux-guerres. Il comporte des bas-reliefs de Armel Beaufils et des mosaïques d'Odorico


































Après la Révolution bolchévique, Saint-Briac servit de résidence aux membres exilés de la famille impériale russe. Le grand-duc Cyrille Vladimirovitch de Russie et son épouse, la grande-duchesse Victoria Mélita, y vécurent avec leurs enfants, le grand-duc Vladimir Kirillovitch, la grande-duchesse Maria Kirillovna, princesse de Linange et la grande-duchesse Kira Kirillovna, princesse royale de Prusse, transformant la station en véritable « capitale » de l'émigration des Russes blancs.

Une branche de la famille Forbes, une riche et ancienne famille américaine de Boston d'origine écossaise qui a fait fortune au XIXe siècle dans le commerce de l'opium avec la Chine et le chemin de fer, possède un domaine sur la commune, aux Essarts. James Grant Forbes (1879-1955), né à Shangaï et ayant fait ses études en Angleterre et à Harvard, à côté de Boston, conforta la fortune familiale en commerçant en Chine dans le commerce de l'opium. Il fit l'acquisition du domaine des Essarts qui allait devenir le lieu de réunion familiale. James Grant Forbes était le grand-père de Brice Lalonde, candidat écologiste à l'élection présidentielle française de 1981, ancien ministre de l'Environnement et ancien maire de la commune et de John Forbes Kerry, sénateur démocrate du Massachusetts, Secrétaire d'État, candidat à l'élection présidentielle américaine de 2004. La commune et le domaine des Essarts connurent alors une certaine notoriété médiatique.
De nombreux membres de la famille Forbes ont passé les vacances d'été en Bretagne dans ce domaine familial. Durant l'Occupation, Les Essarts furent réquisitionnés et employés comme siège d’une société allemande. À leur départ, les occupants bombardèrent et brûlèrent la propriété. Le domaine fut reconstruit en 1954. Cousins germains, Brice Lalonde et John Kerry ont souvent passé, avec leurs parents, les vacances d'été dans la maison familiale de Saint-Briac-sur-Mer, "Les Essarts".
Brice Lalonde s’oppose à la construction par l'État d’un sentier de randonnée en application de la loi dite du Littoral, sentier qui passerait le long de sa propriété,.

Yvon Bourges (1921-2009), maire de Dinard, conseiller général d'Ille-et-Vilaine, président du conseil régional de Bretagne, ministre de la Défense, y a beaucoup séjourné.
Valérie Fourneyron (1959), ancienne ministre et ancienne maire de Rouen, y possède une maison de villégiature. Son mari Philippe est le maire de Saint-Briac depuis 2023.

Jean Ajalbert (1863-1947) séjourne à Saint-Briac en 1886
Armel Beaufils, (1882-1952) sculpteur, a résidé à Saint-Briac-sur-Mer de 1929 à 1952
Émile Bernard (1868-1941), peintre et écrivain, a décoré, au cours des deux mois passés à Saint-Briac-sur-Mer, sa chambre de l'auberge de Mme Lemasson située dans la rue qui porte aujourd'hui son nom. Il séjourna à Saint-Briac en 1886, 1887, 1888, 1889, 1891

Œuvres d'Émile Bernard





























Francis Blin (1827-1908), peintre paysagiste
Théophile Busnel
Degas
François-Alfred Delobbe (1835-1915)
Jean Even (1910-1986), peintre orientaliste
Clarence Alphonse Gagnon
Léon Giran-Max (1867-1927), peintre français.
Paul Grandhomme, maitre émailleur. Son tombeau est surmonté d'une statuette en bronze réalisée par les sculpteurs Émile Armel-Beaufils (1882-1952) et son épouse Zannic Armel-Beaufils, née Suzanne Duvivier (1892-1978).
Arthur Guéniot sculpteur
Amédée Guérard (1824-1908). Vécut à Saint-Briac après 1868
Ernest Guérin (1887-1952), peintre breton, a peint la Côte d'Émeraude en général et Saint-Briac-sur-Mer en particulier.
Emmanuel Lansyer (1835-1893), peintre français paysagiste réaliste
Ray Letellier (1921-2009)
Karl Madsen (1855-1938), peintre et historien d'art danois
Pierre Manoli (1927-2001), sculpteur [réf. nécessaire]
Daphné Maugham Casorati (1897-1982), peintres, belle-sœur et nièces de Somerset Maugham, y ont passé les étés de 1919 à 1935
Alexandre Nozal (1852-1929), peintre, a représenté de nombreux paysages de Saint-Briac-sur-Mer et des environs.

Fernand Piet (1869-1942), peintre français.
Auguste Renoir (1841-1919) a peint une paysanne et sa vache près du moulin. Séjourne à Saint-Briac en 1886
Henri Rivière (1864-1951) a débuté comme créateur du théâtre d'ombres du cabaret le Chat Noir avant de s'imposer dans l'histoire de l'estampe, de la gravure sur bois et de l'aquarelle. Séjourne à Saint-Briac en 1884, 1886, 1890
Paul Signac (1863-1925), peintre paysagiste, créateur du pointillisme et du divisionnisme, s'est souvent arrêté à Saint-Briac-sur-Mer au cours de ses navigations côtières. Séjourne à Saint-Briac en 1884, 1885, 1890

Œuvres de Paul Signac





















Emmanuel de la Villéon (1858-1944), artiste-peintre français, l'un des derniers représentants de l'impressionnisme.
Pierre Waidmann

Patrick Rocca (1947), comédien et chanteur d'opéra français est résident de la commune.

Commandant Pierre-Louis Thoreux (1890 - 1971), commandant, notamment, du paquebot Normandie, est né et est enterré à Saint-Briac.
Louis Delâge (1874 - 1947), ingénieur et industriel français, fondateur de la marque de voitures de prestige Delage en 1905. Il résidait à Saint-Briac au-dessus de la plage de la Salinette. Il y possèdait deux maisons proches l’une de l’autre, près de la placette qui porte aujourd’hui son nom, la Campanella et le chalet du Tertre. Dans son atelier breton, il a dessiné certains de ses modèles, comme la Delage D6-70 à moteur 6 cylindres, un coach de 1936 carrossé par Chapron,,,,.

Liste des communes d'Ille-et-Vilaine

Jean-Pierre Bihr et Henri Fermin, Regards d'émeraude : Les pays de la Côte d'émeraude de Dinard au Cap Fréhel, Saint-Jacut-de-la-Mer, 1988
Aimée Gourin et Cédric Gourin, La Côte d'Emeraude, de Saint-Lunaire à Saint-Jacut-de-la-Mer, éditions Alan Sutton, 2009
Carole Lavoie, Eclats d'Emeraude, Editions Prologue, 2007.
Roman historique qui relate les débuts du tourisme sur la Côte d'Emeraude et notamment la période de résidence des peintres à Saint-Briac. Prix Jackie-Bouquin « la Femme dans l'histoire ».
Auguste Lemoine, De Saint-Malo au Cap Fréhel, 1884
Auguste Lemasson, La descente des Anglais à Saint-Briac et leur défaite à Saint-Cast, Paris, Lorisse - Le livre d'histoire, 2007, 174 p. (ISBN 978-2-7586-0124-1)
Auguste Lemasson, La Descente des Anglais à Saint-Briac et leur défaite à Saint-Cast, l'an 1758, récit complet et authentique d'après trois relations et plusieurs autres documents inédits, F. Guyon, 1923
Auguste Lemasson, La Féodalité à Saint-Briac. Les terres nobles et leurs seigneurs du XVe siècle à la Révolution, Rennes, impr. de Oberthur, 1934 (lire en ligne)
Auguste Lemasson, « Nouvelle relation de la descente des Anglais à Saint-Briac & de leur défaite de Saint-Cast en 1758, suivie d'une lettre inédite d'un officier du Fort La Latte », Société d'Émulation des Cotes-du-Nord - Mémoires, vol. LXI,‎ 1939 (lire en ligne)
Auguste Lemasson, Saint-Briac, centre de la correspondance des princes 1794-1796. Puisaye. Busnel. Prigent, 1929
Catherine Dressayre (ed.), Activité maritime et construction navale à Saint-Briac au XVIIIe siècle : récit de voyage... dans les archives, Saint-Briac-sur-Mer, Association Namasté, 1994
Victor-Maurice de Riquet Caraman, Côte et havre de Saint Briac, 1756
Henri Fermin, Dinart avant Dinard : Dinard, Saint-Lunaire, Saint-Briac, Pleurtuit et baie de Saint-Malo, Saint-Malo, Éd. Cristel, Collection Archéologie & histoire, 2006, 109 p. (ISBN 2-84421-052-X)
Lucien Decombe, Excursion à Saint-Briac, l'alignement mégalithique de la Croix-des-Marins, Rennes, impr. de Catel, 1879
Henri Fermin, Il était une fois le tramway Dinard-Saint-Lunaire-Saint-Briac, Dinard, Danclau, 1987, 141 p. (ISBN 2-907019-00-7)
« La côte de Bretagne depuis Pontorson jusqu'à Saint-Briac d'après un mémoire manuscrit du chevalier Mazin », Annales de la société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Saint-Malo,‎ 1967
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Site de la mairie
Site de l'office de tourisme de Saint-Briac-sur-Mer
« Saint Briac historique », sur Google.com (consulté le 6 juin 2020).
Présentation de la commune de Saint-Briac-sur-Mer, Notice no IA35006419, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.

Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)

Portail des communes de France Portail d’Ille-et-Vilaine‎ source : wikipedia
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