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Festival La Grande Marée Le dimanche 11 août 2024 english version

Festival La Grande Marée

à Saint-Jacut-de-la-Mer

Quand ? Le dimanche 11 août 2024

A quelle heure ?

Où ? Saint-jacut-de-la-mer(22750) - Côtes d'armor - Camping municipal de la Manchette, Rue de la Manchette

Non communiqué par l'organisateur

Plus d'infos

Saint-jacut-de-la-mer(22750) - Côtes d'armor - Camping municipal de la Manchette, Rue de la Manchette

http://www.grandemaree.bzh/

Festival La Grande Marée se déroulera Le dimanche 11 août 2024 à Saint-jacut-de-la-mer(22750) - Côtes d'armor

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Saint-Jacut-de-la-Mer:

Saint-Jacut-de-la-Mer [sɛ̃ʒakydlamɛʁ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Saint-Jacut-de-la-Mer se situe au nord-est du département des Côtes-d'Armor, presque à la limite de celui d'Ille-et-Vilaine.
La commune est bordée au sud par les communes de Créhen et Beaussais-sur-Mer.
Le village se trouve sur une presqu'île bordée à l'ouest par la baie de l'Arguenon et à l'est par la baie de Lancieux et la baie de Beaussais.
Au nord de la presqu'île se trouve l'archipel des Ébihens, qui fait partie de la commune. L'îlot de La Colombière, après avoir été une carrière de granite depuis au moins le XVIIe siècle, est un site pittoresque classé depuis le 26 mars 1953. « Après un changement de propriétaire en 1958, et malgré la convoitise de nombreux plaisanciers, elle retourne au domaine public par expropriation en 1984, avant de devenir une réserve gérée par la Société pour l'étude et la protection de la nature en Bretagne (SEPNB) ».

Saint-Jacut est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Saint-Jacut se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien limité au sud par un important massif granitique cadomien, le pluton de Lanhélin qui fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien,.
L'histoire géologique de la région est marquée par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaîne cadomienne qui devait culminer à environ 4 000 m. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par l'orogenèse cadomienne qui implique un fort épaississement crustal, formant essentiellement des schistes et des gneiss. Cette déformation développe une succession d'antiformes (Saint-Jacut-Rothéneuf, Le Minihic-sur-Rance et Plouer) correspondant à des chevauchements à vergence sud-est, séparés par des synformes (la Richardais et Saint-Suliac) d'orientation N60°, plis d'autant plus déversés vers le Sud que l'on se rapproche du noyau migmatitique. Ce noyau de forme elliptique (25 km x 6 km), ceinturé d'une enveloppe gneissique et micaschisteuse, correspond à la région de Dinard-Saint-Malo. L'épaississement, consécutif à l'écaillage tectonique du domaine orogénique, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dômes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo, développées aux dépens des sédiments briovériens) qui est datée entre 560 et 540 Ma. Les massifs granitiques du Mancellien scellent la fin de la déformation ductile de l'orogenèse cadomienne.
Les paragneiss à grain fin, en bancs décimétriques et finement foliés, affleurent au nord de Saint-Jacut-de-la-Mer. De nombreuses veinules quartzo-feldspathique traduisent les effets d'un début de migmatisation, ces roches étant d'ailleurs en contact avec des migmatites.
Au Nord-Ouest de la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer, plusieurs îlots granitiques, entre autres La Colombière et La Grande-Roche ont été naguère exploités intensément pour l'obtention de pierre de taille en leucogranite.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 10 km à vol d'oiseau, est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Au 1er janvier 2024, Saint-Jacut-de-la-Mer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022.
Elle est située hors unité urbaine et hors attraction des villes,.
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (55,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (55,5 %), zones agricoles hétérogènes (32,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7 %), zones humides côtières (2,8 %), terres arables (1,1 %), prairies (0,7 %).
L'institut national de l'information géographique et forestière (IGN) met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Jacobus en 1009 et en 1019, Monasterium Sancti Jacobi en 1024 et en 1034, Sanctus Jacobus en 1092, monasterium Sancti Jacuti vers 1092, Sanctus Jacotus en 1118, 1132 et en 1159, Monasterium Sancti Jaguti de Insula Maris en 1163, monasterium Landoac au XIIe siècle, en 1191 et en 1212, Sanctus Jacutus vers 1330, Sainct Jagu de l'Isle en 1352 et en 1499, Sainct Jagu en 1513.
Un nouveau nom, Saint-Jacut-de-la-Mer, apparaît dès le 6 novembre 1856 et devient officiel par l'arrêté préfectoral du 25 janvier 1873.
La commune tire son nom de Jacut de Landoac, un saint du Ve siècle d'origine galloise ayant vécu sur la presqu'île.

Les habitants de Saint-Jacut sont dénommés les Jagüens et les Jagüines, mais ils étaient traditionnellement surnommés "Pue-la-raie" par leurs voisins de Saint-Cast qui les percevaient comme des miséreux car ils ne pratiquaient que la petite pêche (maquereaux principalement) et vendaient du poisson séché dont l'odeur était forte (dans les décennies 1950 et 1960 il subsistait une quarantaine de bateaux de pêche côtière à Saint-Jacut) ; leurs femmes pêchaient à pied les crevettes et les coques.

L'occupation du territoire de Saint-Jacut-de-la-Mer est attestée dès l'époque néolithique par la présence de nombreux dépôts coquilliers, que ce soit sur la presqu’île ou sur l'archipel des Ébihens. Un menhir long de cinq mètres est signalé à la Pointe du Chevet et gît désormais sur l'estran. Sur les Ébihens, des fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour les fondations d'un village coriosolite et d'une petite nécropole de l'âge du fer.

Selon la vita Jacuti, rédigée au XIIe siècle, le moine gallois Jacut aurait bâti un monastère au début du Ve siècle, à l'emplacement de l'actuelle abbaye.
Jean-Yves Le Moing estime à 15 % le taux de toponymes d'origine bretonne sur la commune de Saint-Jacut-de-la-Mer.
La paroisse Saint-Jacut, autrefois appelée Landouar, enclavée dans l'évêché de Saint-Malo faisait partie du doyenné de Bobital relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de Jacques le Mineur puis de Notre-Dame. Elle se situe dans le pays traditionnel du Poudouvre.

au Ve siècle : fondation d'un monastère sur la presqu'île de deux frères du Pays de Galles, Jacut et Guéthénoc
en 878 : sac et incendie de l'abbaye par les Vikings.
en 1008 : restauration de l'abbaye.










1790 : élection en commune. Lors de la Terreur, la commune est rebaptisée Isle-Jacut puis Port-Jacut.

en 1807 : naufrage du navire corsaire La Clarisse, commandé par Robert Surcouf de 1798 à 1800.
en 1873 : officialisation du nom actuel de Saint-Jacut-de-la-Mer.
Jean Richepin décrit ainsi Saint-Jacut en 1886 : « Une longue rue montante, au haut de laquelle se dresse une église, voilà le village de Saint-Jacut-de-la-Mer. Et l'on est étonné tout d'abord de voir que ce nid de pêcheurs s'étage au flanc d'une montagne et regarde la terre ferme. Mais c'est que là, sur ce versant, on est à l'abri du vent du large. D'ailleurs il n'y a de port que de ce côté, au pied même de la montagne, où se creuse une petite anse en retrait, tandis que le reste de la presqu'île plonge dans l'eau des murailles à pic où l'abordage est impossible ».

Le monument aux morts de Saint-Jacut porte les noms de 39 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale.

Le monument aux morts de Saint-Jacut porte les noms de 21 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

Un soldat originaire de Saint-Jacut (Georges Cambray) est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine et un (Jean Moulin) est mort en 1946 dans le cadre des Forces françaises en Allemagne.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006.

En 2021, la commune comptait 910 habitants, en augmentation de 1,9 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

La tour des Ébihens, édifiée en 1697 sur instruction de Vauban par l'ingénieur Siméon Garangeau, est un poste d'observation servant de réduit défensif. Elle est inscrite à l'inventaire monuments historiques avec sa cour et son mur d'enceinte par arrêté du 15 juillet 2010.
Le puits de la Manchette, dit puits biblique (date inconnue).
L'abbaye de Saint-Jacut.
L'église Notre-Dame de Landouar (1932).
Le cimetière marin.
Le port de la Houle Causseul.
La cale du Chatelet.
L'archipel des Ébihens comportant plusieurs plages.
Saint-Jacut-de-la-Mer compte 11 plages parmi lesquelles la plage de La Banche, la plage de La Justice, la plage de La Manchette, la plage de La Pissote, la plage des Haas, la plage du Béchet, la plage du Chatelet et la plage du Rougeret. Cette dernière, se situe à l'extrémité de la presqu'île, entre la Pointe du Chevet, à l'ouest, et la Pointe de Sainte-Awawa, à l'est. La plage du Rougeret est propice à la pratique des sports nautiques en toute sécurité, tels que le char à voile, le catamaran, le dériveur, la planche à voile et le canoë-kayak. Exposée Nord/Nord-est, elle est protégée des vents dominants de sud-ouest, mais pas toujours des fortes houles. Enfin, la plage du Rougeret fait face à l'archipel des Ébihens qui est accessible à pied par marée basse.






















Dimitri Amilakvari, Raoul Magrin-Vernerey, Pierre Kœnig et 4 autres officiers de la 13e DBLE embarquent le 19 juin 1940 près de l'ile des Hébihens à destination de Jersey pour rejoindre les FFL,.
Guy Alexis Lobineau, moine bénédictin, historien, mort en 1727 à l'abbaye de Saint-Jacut.
Alphonse Nudant (1861-1952), général durant la Grande Guerre, est décédé dans la commune.
Michel Tournier a séjourné souvent à Saint-Jacut depuis 1930.
Louis Veuillot (1813-1883), écrit en 1860 à Saint-Jacut Çà et là, recueil d'impressions.
Édouard Vuillard séjourne à Saint-Jacut et y peint plusieurs toiles pendant l'été 1909.

La commune utilise un logo.

Paul Sébillot a rassemblé un grand nombre de contes facétieux concernant les Jaguens, ou Jéguins (habitants de Saint-Jacut). Il décrit le village tel qu'il se présentait au début du XIXe siècle (un « bourg de pêcheurs », plutôt malpropre et dont les habitants « ne se mariaient guère qu'entre eux ».) Les Jaguens, considérés comme des naïfs ou des benêts, étaient l'objet de nombreuses histoires facétieuses, « de Cancale à Saint-Brieuc ». Sébillot note que « dans les contes de Jaguens, le dialogue est toujours en patois (gallo) quand ce sont eux qu'on y fait parler ». Les voisins des Jaguens prétendent toutefois (dit Sébillot) que « ce sont les anciens de Saint-Jacut eux-mêmes qui ont inventé ces histoires et qu'ils sont les premiers à les raconter et à en rire » ; il ajoute que le Saint-Jacut « d'à présent » (donc autour de 1900) compte « parmi les communautés les plus instruites du littoral, et nombre de bons officiers de la marine marchande en sont originaires ». Certaines de ces histoires ont toutefois des racines bien plus anciennes, et on note des analogies avec des récits facétieux d'autres pays, comme celui des Sept Souabes, mentionné par les frères Grimm et par Ludwig Bechstein.

Les amis du Vieux Saint-Jacut, Guide historique de Saint-Jacut-de-la-Mer, le vingtième siècle, Saint-Brieuc, Imp. Jacq, 2009, 196 p. (ISBN 2-9522323-2-6).
Robert Aublet, Saint-Jacut-de-la-Mer au temps jadis, Dinard, Imp. Les Mouettes, 1997, 130 p. (ISBN 2-9511174-0-X).
Jean-Pierre Bihr, Saint Jacut de la Mer, scènes d'antan, cartes postales et dessins, Paris, chez l'auteur, 1978, 180 p. (ISBN 2-902923-01-5).
Jean-Pierre Bihr, Regards d'Émeraude, Saint-Jacut-de-la-Mer, chez l'auteur, 1988, p. 244-253 (ISBN 2-902923-00-7).
Dominique Brisou, Guide historique de Saint-Jacut de la mer, des origines à 1900, Les Amis du Vieux St Jacut, juin 2008. (ISBN 2-9522323-1-8)
François Chevalier, « Un siècle de vacances jaguines », dans Le Pays de Dinan, 2001, p. 127-149.
Hervé Collet, Michel Duédal, « Saint-Jacut-de-la-Mer : un village au rythme du maquereau », dans Le Pays de Dinan, 1985, p. 165-183.
Aimée et Cédric Gourin, La Côte d’Émeraude, de Saint-Lunaire à Saint-Jacut-de-la-Mer, Éditions Alan Sutton, 2009, 137 p. (ISBN 978-2-84910-984-7).
Abbé Th. Juhel, Notice sur Saint-Jacut-de-la-Mer et l'abbaye royale du même lieu. Ordre de Saint-Benoist. Enclave de l'évêché de Dol-de-Bretagne, Rennes, Imprimerie de l’Ouest-Éclair, 1933, 96 p. Lire en ligne. N.B. Le manuscrit de l'abbé Juhel terminé fin 1889, peu avant son décès, n'est édité qu'en 1933 à la demande de sa sœur, Mme veuve Guillard.
Ministère de la Culture, Collections iconographiques des bases Cartolis, Dastum, Inventaire du Patrimoine, Mediatek, .... Voir les images de Saint-Jacut-de-la-Mer.
Alek Plunian, Lina, la Jaguine, La Pensée Française, 1926.
Région Bretagne, L'inventaire culturel du patrimoine en Bretagne, Site web. 20 notices sur les sites, maisons, édifices, ... inventoriés à Saint-Jacut-de-la-Mer. Voir les notices.

Dinan Agglomération
Liste des communes des Côtes-d'Armor
Abbaye de Saint-Jacut

Site officiel

Ressources relatives à la géographie : Insee (communes) Ldh/EHESS/Cassini
Ressource relative à plusieurs domaines : Annuaire du service public français
Site de l'office du tourisme du Val d'Arguenon

Portail des communes de France Portail des Côtes-d’Armor source : wikipedia
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